Dans un souffle (2025)
Une performance électro-poético-photographique inspirée de nos imaginaires collectifs.
photos d'Anne-Marie Storme
La Contrainte (2023)
Toute première adaptation théâtrale de la nouvelle DER ZWANG, de Stefan Zweig.
Un corps à corps philosophique dans un univers électro rock.
Coup de coeur des médias Avignon 2024.
photos de Jeff Le Maout
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Safeland (2022)
Premier court métrage d'Anne-Marie Storme.
Prix du meilleur film fiction Festival Court en Flèche 2023
Notre Père (2020)
Une rencontre poignante entre un père malade et sa fille, explorant les profondeurs du deuil, de la foi, et les chemins complexes de la transmission intergénérationnelle.
photos de Claude Waeghemacker
Traverser la nuit (2016)
Inspirée par son histoire familiale, Anne-Marie questionne l’enjeu de la transmission à travers les générations, en résonance avec la grande Histoire, celle de l’Europe du XXe siècle.
photos de Simon Gosselin
A bout de silence (2013)
Un monologue écrit comme une confession, celle d'une femme allemande née au coeur des années terribles du XXe siècle.
photos de Simon Gosselin
Des graines dans ma tête (2013)
Une rage de vivre qui bouscule l'homme debout.
Le Joueur d’échecs (2011)
Une adaptation très physique de l'ultime nouvelle de Stefan Zweig.
Un huis clos terrifiant et feutré.
photos de Claude Waeghemacker
Jardin d’hiver (2008)
Une histoire d'amour avant tout, entre une personne âgée et un jeune soignant.
Prix Bourse déclic jeunes de la Fondation de France.
Un corps en offrande (2007)
Une confrontation de deux univers, celui du fanatisme religieux avec la prostitution.
La Compagnie
Autrice et metteuse en scène
Après un diplôme d’infirmière et diverses expériences en milieu hospitalier (urgences, SMUR, centre de soins, maison de retraite), elle se tourne plus tard vers le théâtre, la mise en scène et l’écriture. Elle suit des cours d’Art dramatique au Conservatoire de Tournai, participe à de nombreux stages théâtre et cinéma, et se forme auprès de divers metteurs en scène de sa région. En 2007 elle crée sa compagnie, le Théâtre de l’instant.
Elle écrit et met en scène Un corps en offrande, Jardin d’hiver (lauréat 2008 du prix bourse déclic jeune Fondation de France), Des graines dans ma tête, A bout de silence, Traverser la nuit, Notre Père. Ses écrits sont publiés aux Éditions L’Harmattan et Editinter.
Elle adapte à la scène Le joueur d’échecs de Stefan Zweig.
Elle a présenté cet été au festival d’Avignon 2024 sa nouvelle création, La contrainte, nouvelle méconnue de Stefan Zweig, encore jamais adaptée au théâtre, coup de cœur de nombreux médias, dont Télérama, L’Humanité, La Terrasse.
Elle écrit et réalise son premier court métrage Safeland en 2022, soutenu par Le Fresnoy (aide aux projets extérieurs), projeté en avant-première au Théâtre du Nord, sélectionné au Festival des anges (Entraigues-sur-la-Sorgues), au Fol film festival (Paris), prix du meilleur film fiction au Festival Court en Flèche (Flèche).
Ses créations explorent l’universel à travers l’intime. Son langage dramatique s’inspire de l’absence et tend vers le dépouillement. La photographie est un autre langage qu’elle expérimente dans toute sa dimension poétique, troublante et énigmatique.
L'écriture d'Anne-Marie Storme se construit en réaction aux événements sociétaux et historiques qui traversent nos vies, jusque dans nos intimités.
L'origine de ses créations est comme un sursaut de révolte, d'indignation, de sidération face à l'événement. La poésie sous toutes ses formes tient une place centrale dans chacune de ses créations.
Avec Un corps en offrande, suite aux attentats du 11 septembre, elle tente la confrontation de deux univers, celui du fanatisme religieux avec la prostitution.
Avec Jardin d’hiver, elle aborde la question de l’euthanasie dans une histoire d’amour entre une personne âgée en maison de retraite et un soignant.
Avec Des graines dans ma tête, co-écrit avec Nicolas Brimeux, la compagnie donne une place particulière à la différence, considérant le comédien porteur d’un handicap comme introduisant une dimension supplémentaire à la notion même de jeu.
Avec l’adaptation du Joueur d’échecs de Stefan Zweig, elle interroge l’origine de toute force de résistance. Face au traumatisme de l’enfermement, la puissance de l’imaginaire serait-elle une réponse à cette force ?
Avec son diptyque A bout de silence et Traverser la nuit (Durch die Nacht), inspirée par son histoire familiale, elle questionne l’enjeu de la transmission à travers les générations, en résonance avec la grande Histoire, celle de l’Europe du XXe siècle.
Avec Notre Père, toujours inspirée par son histoire familiale, elle explore le corps et sa finitude, le corps et ses plaisirs, le corps et sa féminité. De quoi a-t-il faim ?
Avec Safeland, elle réalise son premier court métrage avec l’urgence de traduire en image une fiction qui nous fait éprouver un futur si proche et si tristement familier qu’il se conjugue déjà au présent.
Avec La Contrainte, toute première adaptation de la nouvelle de Stefan Zweig (Der Zwang), elle souhaite faire entendre à travers l’histoire d’un couple fuyant la guerre, le cri de tous les naufragés des mondes en ruine.
Avec Dans un souffle, projet photographique, musical et poétique, elle fait un pas de côté en expérimentant la photographie comme un autre langage, dans toute sa dimension poétique, troublante et énigmatique.
Ses axes de recherche : Se nourrir de l’absence, tendre vers le dépouillement, effleurer l’intime.
La compagnie est soutenue selon les créations par:
- Théâtre du Nord, Centre Dramatique National Lille/Tourcoing/Nord Pas-de-Calais
- Conseil Régional Hauts de France
- DRAC Hauts de France
- Département du Nord
- Fondation de France
- L’ACsé
- Villes de Lille, Marcq-en-Baroeul et Tourcoing
- SPEDIDAM
- ADAMI
- Le Fresnoy / Studio national des arts contemporains
- Départements du Nord et du Pas-de-Calais